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Pour arreter de tourner en rond

24 juin 2009

post dispute

Et voila. Je me fais encore avoir.

Je ne pensais pas que c'était ca être amoureuse. C'est ramper quand il me dit "là, tu m'as fait mal". Et moi, je rampe. je m'excuse, je suis profondément désolée... et j'assume. Le pire c'est que j'assume.

tu réussis à me dire que j'ai craqué, je t'en mets plein la tete avec ce mail. Oui, c'est vrai que ce n'est pas ce que je pouvais t'écrire de plus sympa alors que tu me disais que tu étais désolé.

je me sens tellement conne.

je voudrais prendre confiance en moi, je voudrais que tu arretes de croire que tu dois jouer un rôle, que je suis en crystal et que tu ne peux pas etre toi meme. ce n'est pas vrai. c'est juste que parfois, si tu pouvais m'aider à prendre de l'assurance en me disant que tu es fier de moi, que je fais bien les choses et tout ca, ca m'aiderait. Contrairement à ce que tu crois, je ne suis pas à l'affut du moindre "tu es belle" ou "tu es géniale" parce que ce n'est pas le genre de choses que tu dis. Mais si  seulement de temps en temps tu pouvais me montrer que là, là, j'ai bon, là, je peux me lancer, ce sera bien, alors je pense que les choses iraient mieux, je m'épanouierais bien plus.

je ne te demande pas de jouer à l'assistante sociale, de te lancer dans un chantier dont tu n'aurais meme pas envie de prendre la charge, j'ai juste besoin d'avoir un peu de reconnaissance de ta part, toi qui n'est pas bavard.

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21 juin 2009

la fille au coeur fêlé

C'est l'histoire de la fille au coeur fêlé.

La fille amoureuse chaque jour depuis des jours, des semaines, des mois, a une petite attention pour le garçon trop grand pour elle. Ce qui est bien, quand on est amoureux, c'est qu'on ne compte pas les petites attentions, les petits gestes, les petits cadeaux, les petits mots... C'est d'un naturel criant, alors, ca devient presque un quotidien. Quand le garçon trop grand pour elle lui dit qu'il ne se sent pas très vaillant, un peu fatigué, un peu démotivé, hop, la fille n'hésite pas à courir la ville pour lui trouver un petit paquet bonbon, elle n'hésite pas à sauter le déjeuner juste pour passer une vingtaine de minutes avec lui dans le métro... Alors quand cette nuit, elle lui a dit "je t'aime", et qu'il lui a répondu "ce ne sont que des mots, il doit y avoir un comportement autour", il est devenu le garcon injuste et elle est devenu la fille au  coeur fêlé. Tout le rose de son coeur a commencé à se répandre, et elle n'est plus que l'ombre d'elle meme. La fille au coeur fêlé, c'est la fille amoureuse qui se dit qu'il faut tout faire pour ne pas avoir le coeur brisé.

2 mars 2009

une histoire de ... un jour peut être

Crois-tu qu'un jour j'aurai assez de cran pour te dire ce que je ressens? Parfois, je n'ai qu'une envie, c'est de me jeter sur mon téléphone et te dire, tout simplement, "je t'aime"...

c'est vrai ca, après tout, ca devrait être quelque chose de simple.

Mais en même temps, quand on ne l'a jamais dit, c'est tellement lourd à porter. C'est comme un poids, comme une chaine. Ca me semble idiot de dire ca! Ca devrait être une chose naturelle, légère, pleine de joie! Et voila que moi, j'hésite, je me retiens, je me frustre.

Pourquoi? Parce que j'ai peur. J'ai peur de ce que tu pourrais me dire en retour. Sans doute parce que j'ignore complètement ce que tu pourrais me dire en retour! Je n'imagine rien, je me contente de craindre. Comme tu n'es pas un garçon très... comment dire... tu es parfois un peu sec comme garçon, la tendresse, le coté doux et moelleux, c'est pas vraiment ton fort, et chaque fois, je vais de surprise en surprise, même si ce n'est pas toujours ce que j'attends ou j'espère. Alors imagine la crainte de te dire que je t'aime!

Mais bon, au moins, c'est  là. Le tout est maintenant de vaincre la timidité, l'angoisse et tout le reste. Un jour, j'arriverai à prendre mon courage à deux mains (car là, j'ai besoin d'un bon bol de courage!) et je me lancerai.

Promis.

1 mars 2009

une histoire de ... dimanche - bis

C'est fou. C'est le premier dimanche que tu sembles prêt à m'offrir, tu es là, serein, gentil. Tu as mis un réveil, mais il n'a sonné qu'à 10h30, quel progrès! Mais voila, je ne la sens pas cette journée. Pourquoi, parce que le programme que tu as prévu ne me tente absolument pas, parce que j'ai du boulot par dessus la tete, parce que ce matin, je ne crois plus en rien.

C'est gentil d'essayer de me remonter le moral. C'est un peu maladroit, mais c'est touchant. Moi je suis fermée, verrouillée, bloquée.

Et ce sera la theme de toute la journée. Je déteste ce dimanche. Tout va de travers, je n'avance pas, je piétine, je me prends la tete avec tout le monde, et je déteste vraiment ce dimanche. Je n'ai pas avancé dans mon mémoire, je galère avec mon partiel parce que le prof n'a rien trouvé de mieux que de nous donner un sujet impossible à imprimer, c'est un bouquin introuvable salement photocopié avec plus de marge noire que de texte... Je pète un plomb. Et dire que j'aurais pu passer ce dimanche avec toi...

J'aurais voulu qu'il fasse beau, j'aurais voulu qu'on aille se promener main dans la main, j'aurais voulu qu'on se fasse une journée à deux, avec une ballade, un peu de cuisine, un film... un peu de temps rien qu'à nous quoi. Je commence à en avoir marre de devoir toujours partager mon temps "de toi" avec  deux, trois, quatre, dix personnes. Au final, nous ne sommes seuls que la nuit. C'est bien peu. Alors quand à peine levée, tu m'annonces que tu as déja un planning charrette pour ton seul dimanche de vacances (rendez-vous avec L., expo avec M., télépone avec les S.)... ce me fatigue alors que je ne suis meme pas encore réveillée. Ca me mets de mauvais poil.

Et comme ce matin, je n'ai pas la foi. Je n'ai plus la foi en ce que je fais, je suis fatiguée, épuisée, sans envie, et que mon seul programme chez moi sera de faire mes partiels dans une chambre où il fait 12°, ca fait vraiment un dimanche triste.

20 février 2009

une histoire de ... tu me manques

ben oui, je ne râle pas toujours. Tu me manques tu sais, ca ne fait que quelques jours que je ne t'ai pas vu, mais si tu savais comme j'ai envie d'être avec toi... Evidemment ca fait des post plus court sur le blog puisque je n'ai aucun argument pour développer ce que je raconte!... J'ai hâte de te retrouver.

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15 février 2009

une histoire de ... dimanche

Tu m'as fait passer l'envie des dimanches matin. C'est fou quand meme! Je ne pensais pas que ca pouvait arriver. J'adore les dimanches matin, j'adore me réveiller doucement, sentir que tu es à coté de moi, je me tourne et je me blottis contre toi, je respire ton t-shirt et je sens que ca va être une bonne journée. A demi éveillée, j'imagine que j'arriverai à te convaincre d'aller faire un tour au jardin du luxembourg, juste pour faire une ballade main dans la main. Bon, le plus souvent, meme quasiment tout le temps, ce n'est pas dans ton programme, mais j'y crois quelques secondes.

En ce moment, depuis quelques semaines, je déteste les dimanches matin. Les nuits sont courtes, le réveil sonne à 9h30, tu te jetes dessus pour l'éteindre et c'est fini. Je sais que c'est fini. Ce n'est plus un temps pour moi, c'est un temps hors du temps que nous pouvons partager. J'aimerais un petit bisou dans le cou, une caresse sur la joue, ou au moins un bonjour avant que tu ne te jetes hors des draps pour devenir cette machine de guerre que tu es de plus en plus: une douche, une tartine et le pc s'allume pour travailler. J'ai l'impression que le temps que tu m'accordes tend à se réduire comme peau de chagrin.

Oh je comprends bien la situation. Je sais pourquoi tu fais ça, je sais pourquoi tu dois faire ça, et tu remarqueras que je m'en accomode tant bien que mal. Je me trouve de plus en plus patiente, ca ne me ressemble pas.

Mais je déteste le dimanche matin désormais car il se résume à me réveiller dans un lit qui n'est pas le mien et où tu n'es déja plus. Il se résume à des scrupules à peine réveillé parce que je voudrais dormir quelques minutes de plus et je culpabilise de me les accorder alors que je devrais me lever moi aussi, parce que ce serait plus sympa pour toi. Je m'extirpe alors du lit, morose, pas réveillée, brusquée, et même si tu as eu la gentillesse de me faire un thé (ce que j'apprécie beaucoup), je me retrouve à déjeuner toute seule, machouillant mes tartines en regardant tristement par la fenetre tandis que tu bosses déja à 100 à l'heure, engloutissant des pages de bouquins, tapotant sur ton ordinateur. Oh, bien sur, tu tournes de temps en temps la tete pour me demander si ca va (c'est gentil), mais je ne peux que te répondre "oui" d'un ton triste, me cachant derrière l'excuse de ne pas etre du matin (ce qui est vrai) pour ne pas te dire que je déteste ce dimanche matin, comme tous les autres dimanches matin.

Merde, c'était la Saint Valentin... On n'a rien fait. Tu as meme ri de ma petite attention quand je nous ai acheté des petites patisseries pour le dessert. Tu ne m'as pas fait de cadeau, et je m'en fiche, mais, même si c'est une fête commerciale ou inventée de toute pièce, ca ne te dispensait pas d'avoir toi aussi une gentille attention envers moi. Quelque chose qui change du quotidien quoi. Ca aurait pu être un bisou encore sous la couette pour me dire bonjour avant de t'éclisper.

28 janvier 2009

histoire d'..huile

si tu savais comme ca me vexe quand tu me fais passer ainsi pour une idiote...

24 janvier 2009

une histoire de... tristesse

En fait j'ignore si je suis plus triste ou plus en colère dans cette affaire...

Et je n'ai pas envie de répondre a tes messages. Que veut tu que je réponde? "Oh! C'est son anniversaire, oh, génial, je suis trop contente, ...ah oui, c'est vrai, je ne suis pas là, je n'ai pas été invitée...oh ben ca c'est con..."

je n'ai pas besoin que tu fanfaronnes en me disant que tu vas passer une super soirée d'anniversaire et que tu rentres à 2h du mat', alors que je suis chez moi a tourner en rond parce que je ne sais pas quoi faire d'autre quand je me sens seule.

ca me rend vraiment triste en fait cette histoire... Je me sens complètement mise au rebus alors que je n'ai rien fait pour mériter ca. Je trouve vraiment injuste de pouvoir être oubliée comme ca.

24 janvier 2009

Une histoire de ….légitimité

Ca me tue. Au départ, j’étais jalouse d’elle. Sans doute parce que son ombre planait toujours chez toi. Parce ses courriers restaient en évidence sur la table alors les miens étaient jetés négligemment dans la pile des factures et autres papiers en vrac. Parce qu’inconsciemment tu me comparais toujours à elle. Parce que son numéro de téléphone est toujours écrit en gros sur ton placard et pas le mien. Parce que c’est à elle que tu envoies ce que tu trouves et que moi tu ne me le proposes pas. J’étais jalouse d’elle parce que je pensais qu’elle avait les clés de toi, ton mode d’emploi, que je n’arrive pas à trouver ou que tu ne veux pas me donner. J’étais jalouse d’un fantôme que j’imaginais.

Maintenant, je ne sais pas si je suis encore jalouse. Elle, à vrai dire, je m’en fous éperdument. Mais alors à point…

Non, maintenant, je me contente d’être furieuse contre toi.

Comment peux-tu m’écarter ainsi ? Tu me diras « ce n’est  rien, ce n’est qu’une fête », oui, mais pourquoi, parce qu’elle est là, je deviens indésirable ? Pourquoi est-ce elle  que tu protèges ?! Ca fait quand même un an, quoi ! Et je ne pense pas lui avoir piqué son copain, puisque je ne connaissais même pas son existence d’une part, et je ne t’ai même pas vu venir d’autre part. Alors, quoi ? Ne pas venir parce qu’elle me déteste et qu’elle m’étriperait si j’étais en sa présence, ça, je comprends. Mais pourquoi m’écarter pour la protéger elle et pas pour me protéger moi ?

Ca me rend furieuse d’être ainsi cette nana « en option ». J’ai déjà tellement de mal à me faire une place dans cette nouvelle vie, je suis dégoûtée d’être aussi facilement balayée… Pour qu’elle ait plus de confort en montant à Paris, moi, je dois disparaître. Ca me tue. Ca me tue de devoir m’écraser et fermer ma gueule en disant « amen » pour ne froisser personne. J’ai déjà tellement de mal a trouver ma place dans ta vie… Mes cadeaux passent inaperçus ou sont sans retours, les seules photos de moi sont un œil et un dos, ce n’est pas pour moi que tu cuisines mais pour eux en général et moi dans le lot, on n’a jamais une soirée à deux il faut toujours que ce soit avec tes potes…

Je me fiche pas mal de cette soirée, et à vrai dire, je ne crois pas avoir envie de la rencontrer parce que ça créerait peut être un certain malaise, mais je ne comprends pas pourquoi, alors qu’elle vient avec son copain, moi je n’ai pas le droit de venir. Si elle a un copain, c’est qu’elle a tourné la page, non ? Alors pourquoi moi n’ai-je pas le droit d’être là ?

Je suis dégoûtée. Je suis dégoûtée d’être aussi facilement expulsable, je suis dégoûtée d’avoir finalement aussi peu de légitimité. Je suis dégoûtée que tu penses d’abord à elle et que tu me demandes de me cacher avec autant de nonchalance.

Franchement, ca me saoule que tu me dises que tu veux venir chez moi dimanche comme si tu avais quelque chose à te faire pardonner. C’est une attention qui n’a absolument aucune valeur dans ce cas. Tu ne viens que « pour qu’on se voit quand meme ce week end » ; mais moi je m’en tape. Ca peut bien attendre une semaine, histoire de voir si plus tard je serai moins énervée.

22 janvier 2009

une histoire de ... gouter

Ca te tuerait de m'envoyer un petit message pour me dire merci? Je te fais une petite surprise, avec une gentille attention accrochée sur ta porte (une brioche et un chausson pomme/amande quand même!), et ... toujours rien... pas un mot, pas un mail, pas un appel... J'avais déja été sévèrement refroidie de ta réaction face à ma dernière surprise (je m'étais meme dit que tu pouvais toujours courir pour que je t'écrive une nouvelle lettre d'amour, et tu vas à mon avis courir encore longtemps...) mais là, je me dis que ca ne sert vraiment à rien de créer des petits évènements festifs dans ta vie vu comment je suis payée en retour. Si encore, avec un certain décalage, je recevais moi aussi une petite attention en échange, une lettre dans ma boite au lettre, un petit cadeau, n'importe quoi... mais j'attends toujours... Je te laisse une chance. On verra si quelque chose m'arrive dans les jours a venir. Sinon, j'arrete. C'est tout. Je garderai ces petites choses de surprise et de plaisir pour d'autres. Je trouverai bien qui.

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Pour arreter de tourner en rond
  • Un journal intime... Je me demande pourquoi je l'ai mis sur internet à vrai dire. En fait, c'est plus pour arreter de tourner dans ma tete tout ce que j'ai a te dire et prendre ainsi un peu de distance...
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